Rico Rodríguez, protagoniste des trois chapitres précédents de la série signée Avalanche Studios, a récemment fait son retour sur les écrans dans le nouveau Just Cause 4. Vous n'avez pas encore d'idées claires sur l'achat? Je vais essayer de vous aider dans cette revue.
Suivez les traces de votre père
Just Cause 4 promet dès les premiers instants une immense fusion entre spectacle, action et casino mais surtout histoire de famille. En fait, toute l'histoire se déroule comme une véritable enquête de Rico Rodriguez, qui revient en protagoniste incontesté, sur l'œuvre de son père.
En un instant, nous nous retrouvons catapultés sur l'île de Solis pour suivre les traces de l'ancien Rodriguez, et contraints d'affronter non seulement un climat peu affectueux, mais aussi la Main Noire, une véritable armée privée qui contrôle le territoire et tente pour soumettre les populations locales.
Depuis le début, le parcours de Rico a été étroitement lié à la fois à l'organisation et aux tribus locales : les Main noire il était en fait lié au travail de son père Rodriguez, lui-même directement lié à certains appareils conçus pour contrôler la météo.
Pour découvrir les secrets de famille et mettre fin à la dictature de l'organisation, notre protagoniste crée ainsi leArmata du Chaos, réunissant les habitants de Solis et déclenchant un combat épique, fait d'explosions assourdissantes et spectaculaires, d'évolutions acrobatiques et de fusillades violentes.
Ces derniers ont toujours joué le rôle de point fort de la saga, et Avalanche Studios pour cette raison, il a décidé de les proposer même dans le dernier chapitre : malgré le plaisir et le chaos générés par le jeu, cependant, des aspects similaires finissent par devenir monotones, et ne génèrent plus les mêmes sentiments dans l'esprit du joueur devant le filtrer.
Des graphismes pour remonter le nez
Just Cause 4 a ses racines dans le moteur Apex de Avalanche Studios, moteur graphique qui apparaît beaucoup plus fluide et léger que par le passé, mais aussi beaucoup moins agréable à l'œil. Les décors, les personnages et les détails sont spectaculaires, mais seulement à la bonne distance !
De plus près, en fait, le titre se présente sous une forme pas exactement éblouissante, offrant au joueur des textures et des personnages en basse résolution capables de ramener l'esprit aux anciens titres Playstation 2, grâce à des modèles polygonaux en forme de poupée et des animations segmentées.
La situation est différente vue de loin : l'un des aspects fondamentaux de l'aventure de Rico Rodriguez C'est du spectaculaire et, dans ce contexte, le quatrième titre n'a rien à envier à ses prédécesseurs. Explosions, destructions et paysages représentent le point fort du secteur artistique, se révélant dès les premières séquences comme parfaits pour la suggestion.
Gameplay signifie grappin
Le dernier effort de Rico Rodriguez promet simplicité et plaisir, non seulement dans l'intrigue réelle, mais aussi en termes de gameplay. Les mécanismes de jeu sont en fait peu nombreux et intuitifs, sauf dans certaines séquences où les objectifs ne sont pas aussi clairs qu'ils le devraient, poussant à tourner en continu autour de la carte à la recherche de l'objet avec lequel interagir ou de la destination de la mission.
Le maître mot pour exprimer au mieux le gameplay de Just Cause 4, cependant, il n'en est qu'un : le grappin. Déjà un point fort des chapitres précédents, dans le quatrième, il est meilleur que n'importe quel compagnon de confiance, également grâce aux différents accessoires technologiques dont il sera équipé immédiatement après les missions du didacticiel.
Pour caractériser cet outil utile, il existe trois modes d'utilisation différents. Avant et Rebobineuse, une fonctionnalité déjà vue dans le chapitre précédent qui permet de joindre deux éléments via un câble puis de les faire glisser ou d'interagir avec eux. Les deux suivants sont complètement nouveaux, c'est-à-dire Élévateur, un système qui permet d'attacher des ennemis ou des objets à des ballons autogonflants, puis de les voir s'envoler poétiquement, et Booster, conçu pour placer un propulseur miniature et obtenir des effets spectaculaires.
[Cela vous paraît peu ? Ne vous y trompez pas, car ce n'est pas tout : ces trois façons d'utiliser le grappin peuvent en effet être combinées de multiples façons et, si vous n'êtes toujours pas satisfait, complétées par l'ajout d'une bonne série d'effets secondaires !
Grappin mis à part, le reste du gameplay ne se démarque pas par son originalité, surtout par rapport aux chapitres précédents. L'histoire de Rico sur l'île de Solis se déroule en fait dans une série de missions monotones, notamment en ce qui concerne certains défis et missions secondaires, qui ne peuvent s'empêcher de rappeler les autres titres de la saga signée. Studios d'avalanche.
Just Cause 4 vaut-il la peine d'être acheté ?
En résumé, la nouvelle aventure de Rico Rodriguez semble avoir tout ce qu'il faut pour offrir une bonne dose de divertissement même aux joueurs les plus exigeants.
En fait, dans les 20 heures environ de la campagne principale, chaque utilisateur peut découvrir la vraie nature de Just Cause 4, ou plutôt sa vocation à générer le chaos : la formule de Avalanche Studios il reste donc gagnant en ce sens, surtout pour un novice de la série, mais il pourrait rappeler à un joueur plus expérimenté les chapitres précédents, au final ennuyeux.
Achetez-le ou pas ? Tout dépend de vos besoins : vous recherchez un titre avec des graphismes agréables, un scénario captivant et des dialogues réalistes ? Le nouveau chapitre de la saga, dans ce cas, n'est pas pour vous. Si au contraire vous cherchez un jeu capable d'allier fun et légèreté, alors Just Cause est ce qu'il vous faut !
Just Cause 4
Pro
- Explosions spectaculaires
- Divertimento assicurato
Contre
- petite intrigue originale
- Gameplay répétitif
- De beaux graphismes à distance